Qui sommes-nous ?
L'Association Coopérative des Groupements d'Eleveurs du Nord-Kivu, ACOGENOKI, en sigle, a été créée en 1978 pour la défense des intéręts des éleveurs et le développement des élevages. Elle a une unité modulaire de traitement de lait installée ŕ Luhonga/Masisi, ses produits respectent les normes standards et contiennent tous les éléments nutritifs contenus dans le lait tout en tenant comptent de la santé des consommateurs.
Nos Adresses du Travail
Siège administratif:
Av.Ikobo n°003;Q/Mabanga sud,C/Karisimbi, ville de GOMA.
TĂ©l: +243995293255.
Laiterie:
Luhonga,Groupement Kamuronza,territoire de MASISI, à 7km de la cité de SAKE
(axe GOMA-Kitshanga).
TĂ©l: +243974981223.
Point de vente:
Boulevard KANYAMUHANGA,tout près de la COOPEC IMARA/Ville de GOMA.
TĂ©l: +243976514302.
Qui est l'ACOGENOKI ?
Elle a pour objectif global la défense des intérêts de ses membres et la promotion des élevages sur tout son rayon d’action.
Elle a bénéficié de l’appui multiforme du Gouvernement congolais et particulièrement de la coopération Zaïre-Canada jusqu’en 1990 quand elle comptait plus au moins huit cent mille têtes des bovins et des infrastructures de base très importantes.
Malheureusement, 63% de tout ce cheptel (500.000 têtes) et toutes ces infrastructures furent détruits par les guerres interethniques déclenchées en mars 1993 suivies de l’arrivée massive des réfugiés rwandais venus depuis juillet 1994 pour s’installer principalement au Nord et au Sud-Kivu. A ces conséquences se sont ajoutées notamment les pertes en vies humaines et les déplacements massifs des populations vers les milieux sécurisés ; certains devenant forcement des réfugiés dans les pays voisins où ils croupissent dans la misère.
L’afflux massif des réfugiés rwandais accompagnés des milices Interahamwe et l’armée rwandaise en fuite de leur pays a été la première cause de la disparition de tous les élevages bovins, caprins, ovins suidés, chevaux et volaille…Les hommes en armes quittaient les différents camps des réfugiés pour attaquer, piller le bétail dans les fermes, détruire les infrastructures notamment les habitations, laiteries et fromageries. Cette situation désastreuse a détruit tout le tissu économique et social de la Province du Nord-Kivu, en général et de l’ACOGENOKI, en particulier.
Comme si cela ne suffisait pas, l’éruption volcanique du 17 janvier 2002 est venue exacerber les malheurs de l’ACOGENOKI en détruisant systématiquement les installations de son siège et tout ce qui s’y trouvait.
Suite à l’ancienneté et l’expérience de ses membres, en matière d’organisation coopérative, l’ACOGENOKI a repris effectivement ses activités agro-pastorales au profit de ces derniers qui sont déterminés à recouvrer leur passé d’antan.
Pour sa relance et la promotion des produits bio provenant de nos élevages, l’ACOGENOKI a bénéficié de la subvention d’une unité modulaire de transformation de lait par Son Excellence Monsieur Felix Antoine TSHISEKEDI, Président de la République Démocratique du Congo, dans le cadre de son programme de 100 jours à la tête du pays - via le Fonds de Promotion de l’Industrie « FPI », qui est opérationnelle à LUHONGA dans la localité de SAKE/Territoire de MASISI, à 35 Km de la ville touristique de Goma.
C’est en janvier 2018 qu’une assemblée générale convoquée par quelques membres que furent organisées des élections des membres du Conseil d’administration qui reçoit le mandat de redynamiser l’ACOGENOKI jusqu’à ce jour et une deuxième tenue du 22 au 23/10/2019 pour l’adoption d’un plan quinquennal de cinq ans avec un budget de cinq millions de dollars américains (USD 5.000.000). Pour réaliser ce plan ambitieux, nous recourons à des organisations pour tout appui matériel, financier, logistique et institutionnel qui nous permettraient de redynamiser cette coopérative qui est un levier très important de réconciliation intercommunautaire, de pacification et de développement agro-pastoral du pays, en général et de la Province du Nord-Kivu., en particulier.
2. Zone d’action Sa zone d’action couvre toute la Province du Nord-Kivu et une partie du Sud-Kivu, dans le Territoire de KALEHE.
3. Objet social
L’ACOGENOKI a été créée pour la défense des intérêts des Eleveurs et le développement des élevages. Elle a particulièrement pour objet :
a) Au plan sanitaire:
L’approvisionnement en produits vétérinaires, vaccins et matériels d’élevage. La vulgarisation des règles d’hygiène et de prophylaxie.
b) Au plan administratif
La représentation auprès des Pouvoirs Publics à ce qui concerne les problèmes relatifs aux pâturages, aux taxes, aux relations avec l’administration, à la fixation de prix des bétails et des produits dérivés ainsi qu’à tout autre sujet concernant l’élevage.
c) Aux plans techniques et Ă©conomiques
La vulgarisation des techniques d’élevage appropriées et leurs répercussions économiques.
d) Au plan commercial:
La recherche des débouchés, l’organisation des marchés et des circuits de commercialisation des produits animaux ainsi que la mise en œuvre de tous les moyens inhérents à la commercialisation.
e) Au plan social:
Le renforcement des contrats et de l’entraide entre les éleveurs quelles que soient la dimension et la nature de leurs élevages.
f) Au plan environnemental:
La conservation et protection de l’environnement au sein des fermes des éleveurs.
g) Au plan genre (homme-femme)
La promotion du concept d’égalité de chance entre homme et femme par des activités génératrices des revenues et des droits de la femme et de l’enfant.
f) Plus généralement
L’accomplissement de toutes les opérations pouvant se rattacher directement ou indirectement à l’objet de l’Association Coopérative ou susceptible d’en profiter la réalisation.
4. Devise
Stabilité – Santé – Progrès.
5. Sources des financements
Elles proviennent de :
- Cotisation des Ă©leveurs membres ;
- Fonds propres de l’ACOGENOKI (loyers et produits des ventes des biens et services) ;
- Don et legs ;
- Subventions ;
- PrĂŞts bancaires et autres.
6. Organes
6.1. L’Assemblée Générale
L’Assemblée Générale est composée des représentants dument mandatés des membres de Section des Groupements pour le Développement de l’Elevage. Régulièrement convoquée, elle représente la totalité des Groupements d’Eleveurs membres. Ses décisions sont obligatoires pour tous, même pour ceux qui ne seraient présents ou représentés pour quelque cause que ce soit. L’Assemblée Générale Ordinaire se réunit obligatoirement une fois l’année, sur convocation du Président, dans les courants des mois de mars ou d’avril.
L’Assemblée Générale Extraordinaire quant à elle, se réunit à la demande du Conseil d’Administration ou du quart, au moins, des représentants des Groupements d’Eleveurs.
6.2. Le Conseil d’Administration.
L’ACOGENOKI est administrée par un Conseil composé de quinze (15) membres élus par l’Assemblée Générale Ordinaire parmi les Présidents ou Vice-Présidents des Conseils de section des Groupements d’Eleveurs. Les Administrateurs sont élus par l’Assemblée Générale Ordinaire. Ils sont élus pour un mandat de trois ans et renouvelés par tiers chaque année. Les fonctions des membres du Conseil d’Administration et du Conseil de Section sont à titre bénévoles. L’Assemblée Générale détermine les modalités et les taux de remboursement des frais engagés par les Administrateurs dans l’exercice de leurs fonctions.
6.3. L’exécutif
L’exécutif est dirigé par un Directeur chargé de l’Administration et de la gestion courante de l’Association Coopérative. Il exerce ses fonctions sous la direction, le contrôle et la surveillance du Conseil d’Administration qu’il représente vis-à -vis des tiers dans la limite des pouvoirs qui lui sont conférés.
7. Bref aperçu de l’élevage au Nord Kivu
Le cheptel de la RDC en général et du Nord-Kivu en particulier est caractérisé par une forte diversité en ressources animales.
7.1. Les espèces à cycle long (Gros bétail) :
Essentiellement représentées par l’espèce bovine élevée pour la production de la viande et du lait. Dans les effectifs du cheptel bovin, quelques races sont reconnues, principalement des races à viande et des races laitières. La race Lugbware : introduite au Nord-Kivu par la tribu du même nom vivant en Ituri ; race rustique, poids vif moyen de 300 à 400 kg, format carré, rendement à l’abattage 45% et forte aptitude à l’engraissement. Forte résistance aux maladies. La race Ankole : Communément appelée race locale du Nord-Kivu, c’est un pseudo zébu issu du croisement ancien entre la race bovine à grandes cornes et la race zébu à cornes latérales avec une robe rouge foncée, cornes longues et grosses, le mâle avec une bosse cervico-thoracique, la femelle souvent sans bosse. Forte résistance aux maladies. Les races exotiques importées au Nord-Kivu sont notamment : pie noire, pie rouge, Jersey, Sahiwal et Brun-Suisse. Très souvent ces importations sont limitées aux géniteurs mâles sinon à la semence pour insémination artificielle pour sa bonne production de lait et de la viande. Le cheval est élevé à titre de prestige et touristique pour les grands concessionnaires
7.2. Les espèces à cycle court (Petit bétail) :
Elles sont constituées de petits ruminants, de porcins, de la volaille, etc… parmi elles, nous avons des races locales et des races importées et améliorées. Les caprins et les ovins : de races locales sont très rustiques et contribuent au renforcement des économies dans les ménages en milieux ruraux et sont exploités essentiellement pour la viande. Les porcs de race locale : ils sont caractérisés par une petite taille, une grande rusticité, une bonne fertilité et une faible précocité. Les porcs importés : ce sont notamment le large white, le Landrace, le Duroc, le piétrain, et le large black (un porc noir avec oreilles tombantes, largement utilisé en élevage semi intensif). Les volailles : elles sont constituées de la poule locale ou poule villageoise, le poulet de chair, la poule pondeuse, le canard, la pintade, les dindes, les cailles, l’oie et les pigeons de case. Le lapin : ce sont essentiellement le lapin local et les races importées (le géant de Flandre, le New Zélandais, le Californien) Le cobaye ou cochon d’Inde : cet élevage est souvent pratiqué par les enfants. Il est très prolifique, résistant et s’adapte facilement à toutes les conditions climatiques du Pays.
8. Contraintes liées à l’élevage au Nord Kivu
L’élevage joue un rôle important dans les économies des pays au sud du Sahara, plus particulièrement en RDC. Il occupe près de 80% de la population active et contribue au PIB dans des proportions variant de 5 à 20%. Malgré un effectif important, les productions de lait et de la viande demeurent insuffisantes pour couvrir les besoins de plus en plus croissantes de la population. Cependant, les tentatives de développement des élevages sont confrontées à des problèmes alimentaires, sanitaires, zootechniques et techniques dues surtout au manque de subvention de l’Etat et à la méfiance des organisations non gouvernementales vis-à -vis de l’élevage. Ces contraintes sont encore aggravées par l’impact des changements climatiques. Ainsi, les principales contraintes au développement de l’élevage sont reprises ci-dessous.
8.1. Contraintes liées à la santé animale
En matière de santé animale, la province du Nord Kivu connait des sérieuses difficultés de contrôle des principales maladies dites épizootiques et enzootiques suite au manque de contrôle du mouvement des bêtes et à l’absence de mise en œuvre de politique régionale pour le contrôle des maladies. Les coûts des médicaments et produits vétérinaires qui dépassent très souvent le pouvoir d’achat des éleveurs reste également une contrainte majeure à la santé animale. Des maladies comme la fièvre aphteuse, la péripneumonie contagieuse des bovidés, la peste bovine, la brucellose, les maladies transmises par les tiques (Théilériose, piroplasmose, anaplasmose), la peste porcine africaine, les charbons, la tuberculose, les maladies de volailles (maladie de gumboro, de Newcastle, la typhose et la bronchite infectieuse, etc.) sont souvent redoutables et provoquent parfois des mortalités élevées.
8.2. Contraintes liées à l’alimentation
Les contraintes liées à l’alimentation des bêtes sont de deux ordres : quantitatif et qualitatif. Sur le plan quantitatif, les pâturages dits collectifs sont mal utilisés faute de responsabilisation des éleveurs et les haies antiérosives qui pourraient constituer une ressource fourragère en saison sèche sont plus ou moins abandonnées. De plus, les pâturages de basse et moyenne altitude au Nord Kivu sont sujets à la dégradation de suite d’une surexploitation des espèces fourragères qui y sont établies. Le déficit fourrager à l’échelle annuelle et plus particulièrement durant la saison sèche est généralement très important. Ceci entraîne une chute importante de la production mais aussi des mortalités en particulier chez les bovins. Sur le plan qualitatif, l’alimentation animale au Nord Kivu accuse un déficit protéinique important. D’une part, l’état de dégradation des pâturages ainsi que la faiblesse relative des seules graminées qu’on y rencontre font que leur valeur nutritive peut être qualifiée de médiocre dans la plupart des cas. Quant aux fourrages légumineux cultivés, en plus d’être très peu présents dans les différents pâturages, ils sont rarement associés aux graminées. D’autre part, les concentrés du commerce, en plus d’être déséquilibrés, coûtent chers et le circuit d’approvisionnement n’est pas certain. Un grand handicap pour la rentabilité des exploitations qui les utilisent. Par ailleurs, il y a absence quasi totale des techniques de conservation des fourrages (ensilage, fanaison) qui tirant profit de la relative surproduction des fourrages en saison pluvieuse pourraient aider pendant la saison sèche. L’on constate également que dans certains territoires de la province du Nord Kivu, le manque d’eau en qualité et en quantité en saison sèche est une contrainte majeure à l’intensification de l’élevage
8.3. Contraintes liées à l’amélioration génétique
La majorité du cheptel bovin du Nord-Kivu est principalement constituée de race hybride avec une faible productivité. Il en est de même pour le petit bétail, les animaux de la basse-cour. La persistance d’espèces animales à faible potentiel génétique est liée à l’utilisation peu répandue de technologies appropriées dans le sous-secteur. L’on peut signaler également que ces mêmes technologies sont peu maîtrisées aussi bien par les éleveurs que par les techniciens locaux. Par ailleurs, l’inexistence des données statistiques fiables ne permet pas de saisir, à juste titre, les efforts consentis jusque-là pour l’amélioration du potentiel génétique des animaux (les animaux de races locales, ceux issus des croisements et race pur-sang).
8.4. Contraintes liées à la recherche
En matière de production et santé animales, la recherche est confrontée au manque de ressources financières et humaines, ce qui explique en partie sa faible performance. Jusqu’à nos jours le personnel de recherche est très limité aussi bien au niveau des stations INERA et celui des projets agricoles. Le manque de ressources humaines est tel que la conduite des essais en station ne permet pas aux chercheurs de s’occuper des relations qu’ils devraient avoir avec les techniciens spécialisés à qui incombe le gros de la recherche/développement dans les projets agricoles. Ces derniers ont généralement un rôle à jouer au niveau de la promotion de la recherche/développement entendu au sens de l’expérimentation en milieu rural de solutions identifiées en station de recherche en vue de leur adoption éventuelle par les paysans. Le suivi des essais installés dans les exploitations agricoles est un véritable casse-tête surtout en ce qui concerne les productions animales qui demandent des compétences rares dans le milieu. Par ailleurs, durant la guerre qu’a connue la province, les infrastructures de recherche ont été fortement endommagées et la plupart des animaux ont disparu de même qu’une partie importante de la documentation sur les résultats de recherche effectuées avant et celles en cours au moment des événements. Enfin, il s’avère que la diffusion des acquis de la recherche à travers le système de vulgarisation demeure insuffisante.
8.5. Contraintes liées à la commercialisation
Le circuit de commercialisation des produits d’origine animale demeure très peu développé. La plupart des marchés à bétail ne possèdent pas de clôtures pour les rendre plus sécures. Concernant les viandes, un grand nombre de boucheries ne répond pas aux normes d’exploitation requises. Il s’observe généralement un sérieux manque d’eau et une colonisation quasi-permanente des mouches sur les viandes étalées. Les conditions minimales exigées par le Service d’inspection des viandes font la plupart du temps défaut. Il s’agit là d’un problème de salubrité qui doit être pris au sérieux par les pouvoirs publics même si dans les conditions actuelles il n’a que peu d’incidences sur le développement de la filière animale. Enfin, bien que les marchés urbains soient relativement bien approvisionnés, la commercialisation du lait d’origine locale se heurte à l’absence d’un réseau de collecte bien structuré. Il s’agit là d’une contrainte majeure au développement de la filière laitière qui handicape l’écoulement de la production locale, et cela, n’encourage pas non plus les éleveurs à intensifier leur production. En outre, le problème d’hygiène se pose avec acuité à tous les niveaux de la chaîne, de la ferme au détaillant. En affectant la durée de conservation de lait, le manque d’hygiène engendre des pertes économiques non négligeables.
8.6. Contraintes liées au crédit agricole,
L’accès au crédit agricole est quasiment inexistant pour la majorité des éleveurs du Nord Kivu. En effet, ils sont confrontés à des taux d’intérêts élevés et au manque d’un fonds de garantie qui freine leurs initiatives
Le siège social de l’AGOGENOKI est situé sur :
03, av Ikobo, Quartier MABANGA SUD, Commune de KARISIMBI, Ville de Goma, Province du Nord-Kivu Adresse postale
B.P 620 Goma
• Personnes de contact
• Hon. KAMANZI RUNIGI Emmanuel ; Président du Conseil d’Administration de l’ACOGENOKI, Mobile : +243 997752446
• Mr. KANYAMASORO MUHIRE Alphonse, Directeur de l’ACOGENOKI, Mobile : +243 995293255
Email : acogenoki1@gmail.com
1. PRESENTATION DU PROMOTEUR
Sur le plan administratif, l’ACOGENOKI est représentée par Son président du Conseil d’Administration en la personne de l’Honorable KAMAMZI RUNIGI Emmanuel.
Sur le plan opérationnel, l’ACOGENOKI est représentée par son Directeur en la personne de KANYAMASORO MUHIRE Alphonse..
2. ACTIVITES ET MOYENS DE PRODUCTION EXISTANTS
2.1. DOMAINE DE SANTE ANIMALE
• Gestion d’une pharmacie vétérinaire depuis janvier 2020
• Approvisionnement en médicaments, produits et matériels vétérinaires,
• Organisation des campagnes des vaccinations contre les épizooties (charbon symptomatiques, pleuropneumonie contagieuses, etc.),
• Vulgarisation des règles d’hygiène et prophylactiques.
2.2. DOMAINE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL
Gestion d’une unité modulaire de transformation de lait financée par le Fonds de Promotion pour l’Industrie (FPI). Elle est implantée dans le Groupement KAMURONZA, Territoire de MASISI.
Avec une technologie de pointe, elle produit :
• Le Yaourt,
• du Lait caillé
• de la Crème fraiche,
• du Beurre,
• des Fromages de plusieurs variétés.
MATIERES PREMIERES : Lait cru produit par la vache
FOURNISSEURS : éleveurs membres et non membres de l’AGOGENOKI
CLIENTS : population de Goma, Bukavu, Kisangani et Kinshasa avec possibilité de nous étendre sur toute l’étendue du territoire de la République Démocratique du Congo
3. Avoir des bureaux et comites opérationnels.
4. Formation des éleveurs en technique d’élevage ;
5. Formation multidisciplinaire de membres et des dirigeants
6. Octroi des cartes des membres et des fiches d’identification des éleveurs et du bétail ;
7. Plaidoyer auprès des autorités provinciales, nationales et divers partenaires au sujet des problèmes touchant les éleveurs ;
8. Protection de l’environnement/reboisement ;
9. Redynamisation des fermes pilotes dans le cadre d’amélioration génétique du bétail ;
10. Redynamisation des systèmes de vulgarisation en sante et production animales et d’animation coopérative ;
11. Renforcement des capacités de techniciens vétérinaires ;
12. Transformation de lait en divers sous-produits ;
13. Vaccination du bétail ;
14. Redynamisation des dépôts des produits pharmaceutiques et matériels vétérinaires, vaccins et des suppléments minéraux.
2. Désertion du milieu suite à l’insécurité persistante et présence des groupes armes dans des pâturages
3. Destructions et vols du bétail par des groupes armes
4. Persistance de la race locale non productive
5. Spoliation des terres
6. Taxes multiples et exorbitassions
7. Destruction de l’environnement à grande échelle.
TĂ©moignage
Depuis que je suis né, mes parants parlent toujours de l'ACOGENOKI, et je suis très ravi et splendide d'y être !!!
Conseil d'Administration
Rencontrez l'administration, Nos professionnels
KAMANZI RUNIGI Emmanuel
PCA et Président du G.E Ikobo
NDOLI Vincent
1er V/PCA et Président du G.E Osso
MWANAW'EKA Ezechiel
2ème V/PCA et Président G.E Lushukwe
SEMAYIRA Gilbert
Sécretaire et Président du G.E Jombe
SAFI KANYANGE Brigitte
Trésorière et Présidente du G.E Bunyokadi
INGELS Alain
Administrateur et Président du G.E Beni
Hon. MUHIRE SABITI GĂ©orges
Administrateur et Président du G.E Kinyatsi
VYATSUKA KATALIKO Pierre
Administrateur et Président du G.E Butembo
RUTAGARAMBA NTAMVUTSA Esron
Administrateur et Président du G.E Kasembe
KANZE MPAKANIYE
Administrateur et Président du G.E Karuba
NDAKOLA Gustave
Administrateur et Président du G.E Lukat
KYAVU MUKAMA
Administrateur et Président du G.E Kitsumbiro
NKIZINKIKO KANYARUSHOKI Mathias
Administrateur et Président du G.E Tambi-Mulinde
MASHYARINGA Rujari
Administrateur et Président du G.E Rushinga
SANGARA Amani
Administrateur et Président du G.E Numbi
Comité de gestion
De plus vous nous visitez, les meilleurs que nous vous offrions
MUHIRE KANYAMASORO Alphonse
Directeur
MBARUSHIMANA BARAYASESA Simon
Comptable
KAKULE VUTWIRE Wicklyfe
Vulgarisation en santé et production animales
UMWIZA KABUGOYI Marie claire
Secrétaire
MAZURI KANZE Joséphine
Caissière
KAMASITA André
Chargé vente pharmacie
TUMAINI SECOPE Prudent
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